Le Congrès annuel du Centre d’innovation en santé mentale sur les campus (CISMC) est une occasion pour les intervenant(e)s en santé mentale dans les établissements postsecondaires de l’Ontario et du Canada de se réunir, d’échanger sur leurs objectifs communs et d’apprendre de nouvelles stratégies à appliquer dans leur pratique. Notre événement représente le cœur du travail du CISMC : réunir divers intervenant(e)s ontarien(ne)s parmi le personnel postsecondaire, les étudiant(e)s, les organismes communautaires et les champions(nes) des campus afin qu’ils puissent collaborer et, ultimement, trouver des solutions novatrices aux problèmes de santé mentale sur les campus.
Cette année, le Congrès se tiendra virtuellement le 13 novembre 2024. Par le passé, cet événement a attiré plus de 600 participant(e)s, 20 exposant(e)s et une grande variété de conférenciers(ières) de tout le secteur de la santé mentale postsecondaire, offrant des ateliers sur les meilleures pratiques et les pratiques émergentes.
Le Centre d’innovation en santé mentale sur les campus (CISMC) vous invite à soumettre un résumé en vue d’une présentation à la Conférence virtuelle 2024. Le CISMC sollicite des résumés de la part d’intervenants en santé mentale de niveau postsecondaire qui peuvent partager des idées et offrir des solutions innovatrices aux défis de la santé mentale sur les campus.
Chaque séance de la conférence comportera un appel à l’action que les participants peuvent examiner et rejoindre. Dans cette optique, nous explorerons des sujets qui intègrent et examinent les déterminants sociaux de la santé.
APPRENDRE ENCORE PLUSLe Centre d’innovation en santé mentale sur les campus (CISMC) est un projet de partenariat dont font partie les collèges ontariens, le Conseil des Universités de l’Ontario, l’Ontario Undergraduate Student Alliance, la College Student Alliance et l’Association canadienne pour la santé mentale, division de l’Ontario.
EN SAVOIR PLUS SUR LE CISMCPromote your organization and services to a targeted group of professionals including post-secondary faculty, student leaders, peer mentors, administrators, front-line service providers, community service organizations, healthcare providers, research professionals and governments.
Learn MoreConsultez le programme et lisez les détails de toutes les séances.
APPRENDRE ENCORE PLUSThe Centre for Innovation in Campus Mental Health hosts a monthly webinar series with experts from around Canada and the world. This series is free and a certificate is available.
Learn MoreCette ressource en ligne se veut un guichet unique pour les professionnels et les dirigeants des étudiants des campus qui souhaitent mieux comprendre la santé mentale et aiguiller les étudiants vers des programmes ou des services pertinents. Elle a été développée pour permettre aux facultés, à l’administration et au personnel des campus d’apprendre à reconnaître les étudiants aux prises avec des problèmes de santé mentale, à intervenir auprès d’eux et à bien les aiguiller.
APPRENDRE ENCORE PLUSAsante Haughton porte plusieurs chapeaux. Il est un entrepreneur, un activiste, un organisateur, un conférencier, un écrivain, un poète et un travailleur en santé mentale. Il a notamment participé à 2 conférences TEDx et a été désigné comme l'une des 150 personnes les plus influentes au Canada dans le domaine de la santé mentale. Il a notamment cofondé le Reach Out Response Network, une organisation dont le plaidoyer a directement ouvert la voie au Toronto Community Crisis Service, un nouveau quatrième service d'urgence qui soutient les personnes en crise de santé mentale grâce à des équipes de crise mobiles plutôt qu'à des agents-es de police. Dans le cadre de son travail quotidien, Asante est responsable de la mise en récit chez Unsinkable, une organisation de santé mentale qui amplifie les histoires dans un but de sensibilisation et de changement.
Amateur de potins sur les célébrités et d'analogies sportives, Asante se passionne pour l'amélioration de tous les êtres humains. Il a la noble ambition d'essayer de changer le monde, une personne et une communauté à la fois.
Kimberly Murray est membre de la Nation mohawk de Kanehsatake. Le 8 juin 2022, Mme Murray a été nommée Interlocutrice spéciale indépendante pour les enfants disparus et les tombes et lieux de sépulture anonymes en lien avec les pensionnats indiens. Avant d'occuper ce nouveau poste, elle était dirigeante principale du Secrétariat des survivants des Six Nations de la rivière Grand, où elle cherche à faire la lumière sur les enfants disparus et les tombes anonymes à l’Institut Mohawk.
Mme Murray a également été la toute première sous-procureure générale adjointe de la Division de la justice pour les Autochtones de l’Ontario, du 1er avril 2015 au 2 août 2021, où elle était responsable de la mise sur pied d’un service chargé de travailler avec les collectivités autochtones à la revitalisation des lois et des ordres juridiques autochtones. En 2018-2019, Mme Murray a présidé le Comité d’experts sur les services de police dans les communautés autochtones, à l’origine du rapport Vers la paix, l’harmonie et le bien-être : les services de police dans les communautés autochtones.
De 2010 à 2015, Mme Murray a été la directrice générale de la Commission de vérité et réconciliation du Canada, où elle a travaillé à faire en sorte que les survivants-es du système des pensionnats du Canada puissent se faire entendre et demeurent dans les mémoires, ainsi qu’à promouvoir la réconciliation entre les Autochtones et les non-Autochtones.
De 1995 à 2010, Mme Murray a été avocate-conseil à l’interne, puis directrice générale de l’organisme Aboriginal Legal Services of Toronto. Elle a plaidé devant tous les échelons du système judiciaire au sujet de questions juridiques se rapportant aux Autochtones. Elle a également agi à titre de conseillère juridique dans le cadre de nombreuses enquêtes de coroner et enquêtes publiques, notamment l'enquête Ipperwash en Ontario et l'enquête Frank Paul en Colombie-Britannique.
Mme Murray est lauréate de nombreux prix, dont le Prix national d’excellence décerné aux Autochtones de 2017, dans la catégorie du droit et de la justice. En 2015, l’Association du Barreau autochtone lui a accordé le titre de conseillère des peuples autochtones (C.P.A.).